|
 |
|
| II. 2e curé Mr. J. Leblanc, 1er résident. 28 Sept. 1856 = 26 Sept. 1861 | ||
| 1856 | Le 12 Sept. 1856, Messire Julien Leblanc, curé de St-Joseph d’Ely avait été nommé à la Desserte de la par. de l’Ange Gardien. Il se rendit à St-Césaire, vers le 25, et célébra |
 |
| Arrivés. | sa première messe à l’ange Gard. le Dim
suivant, 28. Le presbyt. de la par. n’étant pas alors encore tout à fait terminé
et peu habitable, le nouveau curé logea, pendant un mois, chez celui de St-Césaire, qui
lui offrit une généreuse hospitalité, de la messire Leblanc desservait sa paroisse où
il se rendait au besoin. Vers le 23 Oct. le presby. étant devenu habitable, il y fixa
définitivement sa résidence et s’occupa exclusivement de la desserte de sa paroisse
et du soin de son troupeau. |
|
| Tout est maintenant organisé dans ce nouvel
Établissement religieux et en voie de progrès; partant notre récit sera désormais plus
rapide. (Passons sur l’année 1857.) |
||
| Rosalie. | Le 31 Janv. 1853, Messire Provençal écrivait à Mgr Prince insinuait que le rang ou partie du rang de Rosalie, ds St-Césaire, pourrait bien faire partie de l’Ange Gard., suppose qu’on formât deux paroisses (id. p.22). Cependant, l’ordonnance du 15 Déc. 1853, qui donne une nouv. circonscript. à l’Ange Gard. n’en fait nullement mention (id. p. 30) Quatre ans et trois mois plus | |
| 1858 | tard, les habit. de la partie haute ou Est de
Rosalie, pétitionnèrent l’autorité ecclés. pour être annexés à la par. de
l’Ange Gardien. Requête opp. Le 20 mars 1858, la majorité des propriétaires de ce
rang, en prévision d’une demande d’annexion, signèrent, au nombre de 38, une
requête en opposition à l’Évêq. diocésain. Ils exposent à Sa Gr.
"qu’une semblable annexion serait préjudiciable et injuste pour la grande
majorité des habitants du … rang Rosalie". Que les fauteurs de l’annexion
ne font une telle démarche que ds l’espoir de n’avoir presque rien à payer
pour la bâtisse de la future Église de l’Ange Gardien. |
|
| Que démembrer le dit rang, c’est détruire l’école qui y existe, laquelle ne peut se maintenir qu’avec le concours des contribuables de tout le rang. | ||
|
|
 |
|
